Additif 250 ml pour Economises Carburant Diesel, GNR, Ethanol Réduction des pollutions
SKU: DSC51250
34,00 €
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Produit 250 ml remplacé par le 200ml réf : DGSDIES200
Traitement intégral injection Diesel ou GNR
Tout en un Améliore la combustion, antioxydant, dispersant d’eau, nettoyant injection, lubrifiant, antifigeant
Comprendre et voir en image les actions de l’additif
traitement de l’oxydation du carburant avec youtube
traitement de l’eau présente dans le carburant avec l’additif
Le Dosage en préventif est de 1/4000 en cas de besoin pour nettoyage curatif : 1/2000 (exemple 10ml pour un plein de 40 litres)
l’Additif est un traitement carburant Diesel, fioul domestique prenant en compte les nouvelles normes Européennes imposées aux pétroliers. La composition chimique lui confère des performances optimales sur tous les moteurs automobiles, poids lourds, agricoles, marines, compresseurs, groupes électrogènes, génie civil, etc.
EXTRAIT : Journal entrepreneurs des Territoires Avril 2019
à lire absolument pour découvrir tous les avantages de l’Additif :
Tous : SGS, ASF, UTAC, CERAM, et ANALYTICE reconnaissent l’additif
– 1/1000 dans le GNR sur un FENDT 714 avec sa tonne à lisier : consommation réduite de 10.82% et le tracteur a été plus vite de 4.56% ; taux charge moyen de ce tracteur en test 33%
– sur Moteur Deutz injection : une moto pompe de 180 cv reliée à une pompe BAUER 250 m3/heure, à un régime constant de 1 500 tours : l’économie constatée par heure est de 6.35%
– … »au coeur du moteur, les frottements sont amoindris et les coûts d’entretien en sont réduits d’autant… »
– « dans les cuves à fuel ou dans les réservoirs l’additif offre une palette très complète de propriétés : il neutralise l’eau, les bactéries, les boues et préserve de l’oxydation. Il est miscible au carburant sous le point de trouble. Ses agents nettoyants,, sur-lubrifiants, optimiseurs de combustion permettant des gains de consommation et de maintenance »
article écrit par H de YRIGOYEN.
Un utilisateur curieux et bien informé peut réduire son empreinte environnementale et
énergétique dans le domaine des transports de manière SPECTACULAIRE.
Solutions dans l’approvisionnement
Consommer moins d’hydrocarbures c’est polluer moins quantitativement.
Solutions techniques
Une meilleure combustion et un meilleur rendement permettent une réduction
qualitative de la pollution.
Non ça ne casse pas les moteurs.
En fonctionnement normal l’Econokit n’envoie pas d’eau liquide dans la chambre de
combustion, il n’y a donc aucun risque.
Non.
L’Econokit améliore la combustion. Le moteur s’use donc moins vite, et l’huile de lubrification est moins contaminée par les imbrûlés. Après 1000 heures de fonctionnement on constate au démontage de la culasse une grande propreté, très peu de calamine, et aucune altération des pistons et sièges de soupapes.
La meilleure eau qui soit pour l’Econokit est l’eau de pluie au PH idéal. L’eau distillée est également adaptée. Le bulleur de l’econokit se comporte comme un évaporateur. Il concentre
tout ce qui n’est pas de l’eau, comme les poussières ou le tartre. Plus l’eau est pure et peu
calcaire, moins ce phénomène se produit. Mais en pratique on pourrait utiliser de l’eau « sale ».
L’eau dans le bulleur peut être amenée à geler c’est évident. Cela ne présente aucun risque
pour le bulleur. Si la température est basse, gel ou pas, l’Econokit mettra un peu plus de temps
à fonctionner, c’est tout.
Non.
L’Econokit a été conçu pour fonctionner uniquement avec de l’eau. Rajouter un·
hydrocarbure entraînerait des encrassements irréparables par distillation fractionnée. Toute utilisation de produit chimique est dangereuse car les gaz formés sont portés à haute température avant de ressortir. Ne jouez pas à l’apprenti sorcier.
Une légère acidité améliore également le fonctionnement, l’eau de pluie est donc idéale à
utiliser.
Soit le montage a été mal fait, soit le taux de charge du moteur est trop faible : cela veut dire que le moteur est surdimensionné pour l’usage qu’on en fait. De plus le style de conduite joue un grand rôle, l’économie ne peut être perceptible que sur la durée minimum d’un plein.
Oui, il suffit de le démonter et de le remonter ailleurs.
Pour favoriser l’ionisation du gaz passant dans le réacteur catalysé, on doit augmenter sa conductivité électrique. Or la conductivité varie comme l’inverse de la racine carrée de la
pression. En pratique, si on veut multiplier la conductivité par 2, il faut diviser la pression par 4. La moindre fuite de vide à l’admission du moteur, depuis la sortie du réacteur, est donc
catastrophique pour le rendement du système.
L’Econokit a été conçu pour être facile à monter. C’est ce qui en fait tout l’intérêt. La notice de montage fournie est très complète. Il faut compter 30 min à 1 heure pour un
montage complet, avec des compétences « normales ».
Non. Si le dispositif semble simple dans ses composants, l’Econokit est fabriqué dans un alliage de métaux rares et en proportions et dimensions particulières. Sa nature et sa
géométrie le rendent efficace dans son ionisation. Une modification de ces paramètres
engendrerait le plus souvent un déréglage complet du dispositif et aucune amélioration
constatée.
Non, aucune modification n’est nécessaire.
En effet, il n’y a pas d’eau liquide mélangée au carburant mais un gaz (air humide ionisé) obtenu par l’action du réacteur Econokit et injecté dans l’admission d’air moteur. En aucun cas l’eau est mélangée au carburant, il s’agit de deux circuits différents.
Pas vraiment. Le rendement de moteur est augmenté, donc on a besoin de moins de
carburant pour la même performance.
Non, c’est un économiseur de carburant utilisant de l’air humide.
L’énergie primaire reste un hydrocarbure.
L’eau seule n’a pas d’énergie potentielle suffisante pour servir de carburant de façon simple. Certains chercheurs développent des méthodes destinées à utiliser l’eau comme carburant
directement (avec ou sans additif) et nous souhaitons sincèrement qu’ils y arrivent.
Le moteur retrouve petit à petit sa consommation initiale.
Entre 500 et 1000 km soit à chaque plein en moyenne.
Le diffuseur ressemble à une flèche, il faut l’installer dans le même sens que la circulation de l’admission : du filtre à air vers le moteur. Il faut positionner la flèche vers le sens du moteur.
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